Face à un ptôsis acquis, le médecin généraliste doit traquer l'urgence en étudiant l'occulomotricité et la pupille (cf encadré ci-dessus).
Une fois les urgences éliminées, la prise en charge est du ressort du spécialiste (ophtalmologue, neurologue ou interniste selon l'étiologie).
Ne pas confondre avec un pseudoptôsis (énophtalmie, rétractation palpébrale controlatérale, blépharospasme, spasme gémi-facial, apraxie de l’ouverture palpébrale, pseudoptôsis psychogène).
R. Deschamps, O. Gout. Conduite à tenir devant un ptosis. EMC - Ophtalmologie 2013;10(3):1-5 [Article 21-530-B-10].